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Par Sylvie Le Dantec le 28 Juin 2019 à 11:34
La Informalidad Urbana en el Siglo XX: Miradas Cruzadas
Urban Informality in the 20th Century: Intersecting Perspectives15 & 16 juillet 2019
Centro de Estudios de Historia de México Carso
Federico Gamboa 1, Colonia Chimalistac, 01070, Ciudad de México
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Par Sylvie Le Dantec le 15 Mai 2019 à 13:13
JUSTICE SOCIALE ET TRAVAIL DÉCENT
L’Organisation internationale du travail en action depuis 100 anscolloque international
Paris du 26 au 28 juin 2019 • inscription obligatoirelieux
le 26 juin 2019 de 8 h 15 à 12 h 30
Conseil économique, social et environnemental (CESE)
9, place d’Iena, Paris 16e
le 26 juin de 14 h 30 à 18 h
le 27 juin de 8 h 15 à 17 h 45
le 28 juin de 8 h30 à 13 h
Ministère du travail, salle Laroque
14, avenue Duquesne, Paris 7e
contact : Colloque-OIT-Paris-2019@univ-paris1.fr
inscription obligatoire à l’adresse suivante
http://ptolemee.com/100ans.oit/index.htmlL’OIT est née du Traité de Versailles en 1919, a survécu à la Société
des Nations et a trouvé sa place au sein de la configuration
onusienne où elle a apporté l’héritage et le savoir-faire du premier
internationalisme. Ce colloque scientifique et pluridisciplinaire
se propose d’étudier l’OIT comme l’une des organisations au sein
d’un dispositif et d’un ensemble d’organisations, avec l’objectif
spécifique de créer les conditions d’une paix universelle par la
justice sociale. Ce faisant, l’OIT a formulé et poursuivi des idéaux
de réforme sociale tout en se saisissant de manière pragmatique
de questions particulières. Dans un certain nombre de domaines
et pour certaines voies explorées, l’OIT a été pionnière, a composé
avec de nombreux acteurs, au gré des évolutions notables et des
équilibres géopolitiques.
Saisissant l’occasion de son centenaire, des historien.e.s, des
sociologues, des juristes, des politistes et des économistes
interrogeront les conditions de sa création, son expérience au
long cours et réfléchiront aux orientations qui s’offrent à elle, en
analysant les tensions entre la globalisation économique et ses
objectifs d’universalité de justice sociale et de dignité du travail. Des
tables rondes réunissant les partenaires sociaux, des représentants
des institutions, des ministères et de l’OIT, des représentant.e.s des
jeunes et les délégué.e.s actuel.le.s auprès de l’OIT, dans un cadre
tripartite, contribueront à la réflexion et aux débats d’aujourd’hui.The ILO was founded in 1919 and survived the League of Nations.
After World War II, the ILO brought to the United Nations system
its unique experience and know-how derived from the tradition
of the first internationalism. This scientific and multidisciplinary
symposium proposes to study the ILO by considering it as a part of
broader institutional system whose primary goal is to create the
conditions for universal peace and social justice. Therefore, the ILO
has formulated and followed ideals of social reform while remaining
pragmatic on specific questions and adapting itself to a changing
geopolitical environment. In many areas, the ILO can be considered
as a pioneering institution.
As the ILO is about to celebrate its 100th anniversary, historians,
sociologists, political scientists, lawyers and economists will
seize this unique occasion to re-examine its origins, assess its
experience over the century, and reflect upon its future and its
(challenged) influence today. They will more particularly analyse
the tensions between economic globalization and the objectives
of universal social justice and decent work. Several workshops
gathering social partners, institutional members, governement representatives,
youth representatives as well as current ILO tripartite
delegates will contribute to the debates.
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Par Sylvie Le Dantec le 18 Avril 2019 à 17:49
Créée en 1998, la Société française d’histoire urbaine regroupe les chercheurs, quelles que soient leur appartenance disciplinaire, leur ancrage chronologique ou géographique, qui abordent le fait urbain dans son historicité. Elle publie depuis 2000 la revue Histoire Urbaine.
La SFHU décerne depuis 2011 un prix de thèse annuel, ouvert aux jeunes docteurs en histoire urbaine.
La revue Histoire urbaine consacrée à l’histoire des villes de l’Antiquité à nos jours. Première revue de ce type en France, elle a pour ambition de faire connaître la vitalité de la recherche dans un domaine sans cesse renouvelé et étroitement lié aux grands débats de notre société. Histoire Urbaine est une revue ouverte à l’interdisciplinarité. Elle est destinée non seulement aux enseignants, aux chercheurs et aux étudiants, mais aussi à tous ceux qui travaillent sur la ville et sur l’urbain.programme
Accueil
Mots d’accueil de Patrick Boucheron (professeur au Collège de France) et Denis Menjot (président de la Société française d’histoire urbaine)
9 h 30-11 h Table ronde Fabrique urbaine et dynamique spatiale
coordinatrice Donatella Calabi (professeure d’histoire urbaine, université Iuav de Venise)
Pascal Butterlin (professeur d’archéologie orientale, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
La fabrique urbaine
María Castrillo Romón (professeure d’urbanisme, Ecole d’architecture de l’université de Valladolid)
Amélioration des villes : perspectives pour un chantier d’histoire urbaine
Peter Clark (professeur d’histoire urbaine européenne, Université d’Helsinki)
Espaces verts et ville subalterne
11 h 15-12 h 45 Table ronde Gouvernance et enjeux des politiques urbaines
coordinateur Yves Grafmeyer (professeur émérite de sociologie, Université Lumière Lyon 2)
Florent Garnier (professeur d’histoire du droit, Université de Toulouse)
Gouverner la communauté urbaine par le droit
Tim Soens (professeur d’histoire médiévale et environnementale, Université d’Anvers)
Vulnérabilité et résilience vis-à-vis ces défis environnementaux
Christine Lelévrier (professeure à l’École d’urbanisme de Paris, Université Paris-Est Créteil)
Les politiques de mixité sociale et de logement14 h 30-15 h 45 Conférence-débat Histoire urbaine et musées de ville
avec Xavier de la Selle (conservateur du musée Gadagne de Lyon), Valérie Guillaume
(directrice du musée Carnavalet de Paris) et Christine De Weerdt (conservatrice du musée
de la Ville de Gand)
16 h -17h30 Table ronde Les villes dans l’histoire du monde
coordinateur Patrick Boucheron (professeur au Collège de France)
Pierre Singaravélou (professeur d’histoire contemporaine, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Villes-monde et villes du monde
Odile Goerg (professeure d’histoire de l’Afrique contemporaine, Université Paris Diderot)
Les villes coloniales
Julien Loiseau (professeur d’histoire médiévale, Université Aix-Marseille)
Les villes du Maghreb et du Proche-Orient
17 h 30- 19 h Conférence-débat Ville, patrimoine et numérique
avec Jean-Luc Pinol (professeur émérite d’histoire contemporaine ENS Lyon)
et Frédéric Kaplan (professeur de Digital humanities, École polytechnique fédérale de Lausanne)
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Par Sylvie Le Dantec le 18 Avril 2019 à 17:45
Télécharger « programme19:10:2018–repro2oct..pdf »
En 2017, à respectivement 70 ans de la Seconde Guerre mondiale et 50 ans de la guerre d’indépendance algérienne, on peut être surpris par l’effervescence mémorielle qui, en ce début du XXIe siècle, rend présents, de façon inégale selon les conflits – trop de mémoire ici, pas assez là –, ces événements. L’héritage de ces passés, loin de concerner seulement l’histoire militaire, témoigne de l’évolution du regard à la fois historiographique et sociétal sur ces conflits, appréhendés par ailleurs de façon de plus en plus différentielle selon les générations impliquées.
Le 18 juin 1960, le général de Gaulle inaugure le Mémorial de la France combattante au mont Valérien, le 25 janvier 2005 le Mémorial de la Shoah est inauguré à Paris par le président Jacques Chirac tandis que le 16 octobre 2015, le premier ministre Manuel Valls inaugure le Mémorial du camp de Rivesaltes. Entre ces dates, la perception et la mémorialisation de la Seconde Guerre mondiale connaissent une évolution marquante : à la célébration de la mémoire de la résistance succède celle de la mémoire de la déportation au prisme d’un « devoir de mémoire » centré sur l’extermination des Juifs d’Europe tandis que, plus récemment, la crise des mémoires nationales héroïques génère une mémoire plurielle du second conflit mondial. De son côté, la guerre d’indépendance algérienne, qui fut longtemps une « non guerre », reste encore à la marge des politiques mémorielles qui tardent à lui assurer un régime de commémoration. Contrairement aux mémoires plurielles mais désormais consensuelles des conflits mondiaux, cette mémoire encore fortement conflictuelle illustre la difficulté qu’a la société française, dans un contexte postcolonial, à accepter la pluralité des expériences guerrières.
Dans cette configuration, le colloque invite à interroger les représentations – symboliques, politiques, architecturales, artistiques… – que ces différents conflits passés nourrissent depuis le début du XXIe siècle et à mettre en évidence des dynamiques mémorielles qui investissent l’espace public.
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Par Sylvie Le Dantec le 18 Avril 2019 à 15:27
Cette journée d’étude est organisée par le Musée d’histoire urbaine et sociale de Suresnes (MUS) et le Groupe Transversal « Inventer le Grand Paris » (IGP) du Labex Futurs Urbains (UPE). Elle s’inscrit dans le cadre du « printemps des cités-jardins en région Ile-de-France » et des « 50/100 ans » de l’École d’Urbanisme de Paris (EUP).
L’année 1919 fut un moment important pour l’urbanisme français et sans doute mondial. En France, cette année est marquée par quatre événements : au mois de mars, l’adoption de la Loi Cornudet définissant pour la première fois la planification urbaine en France ; en été, le concours pour l’aménagement et extension de Paris qui débouche sur le Plan Jaussely et amorce le processus des cités-jardins du département de la Seine ; en septembre l’ouverture de l’École des Hautes Études Urbaines (EHESS) et le lancement de la revue La Vie urbaine visant à constituer et transmettre les compétences de l’urbanisme ; enfin en décembre, les élections municipales qui voient s’installer un nouveau personnel politique, notamment dans les banlieues urbaines représentées à Suresnes par Henri Sellier. Ces « quatre saisons » correspondent à différentes dimensions de l’urbanisme ; elles donneront le ton à l’urbanisme durant l’entre-deux-guerres.
Au-delà de la célébration d’un centenaire, cette journée d’études souhaite :
- poser certains enjeux d’historicité urbaine et urbanistique, en situant cette année si particulière dans des temporalités plus longues, antérieures ou postérieures. Nous faisons l’hypothèse que le moment 1919, à la fois lié au temps suspendu de la guerre et à l’anticipation de l’après-guerre, combine différentes temporalités de la ville et de l’urbanisme.
- rapporter cette conjoncture très forte en France et en région parisienne au panorama international en matière de ville et d’urbanisme, marqué par la fin de la guerre sur les fronts principaux, mais aussi par un renouveau des idées et de leur circulation, de l’associationnisme international ou encore de nouvelles perspectives de coopération… Nous explorerons ainsi comment, au sortir d’une guerre mondiale les enjeux de l’urbanisme s’internationalisent aussi (Allemagne, Roumanie, Espagne).
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Par Sylvie Le Dantec le 12 Septembre 2016 à 14:16
Journées d'études • Bobigny et Paris, les 14 et 15 octobre 2016
Perspectives pour l'histoire du communisme français
Ces journées d’études doctorales portent une ambition : organiser un espace de rencontre et de débat entre jeunes chercheurs, échanger sur les possibles lignes de force d’une « nouvelle histoire » du communisme français. Vingt ans après les polémiques autour du Livre noir du communisme et la réplique du Siècle des communismes, l’histoire du communisme reste un enjeu vif d’investigation.
Le point de départ est ici formé par les empreintes laissées par la mouvance communiste sur la société française, forgeant une culture populaire, capable à la fois d’intégrer – pour une part – exclus et marginaux, de faire pleine place politique à la classe ouvrière – et, au-delà, à tout un petit peuple des villes et des campagnes –, d’associer nombre d’artistes et d’intellectuels et de rassembler ces acteurs politiques singuliers dans des structures, des mouvements, des projets.
Mais si le communisme a laissé des empreintes sur la société, c’est aussi parce qu’il a été investi par des acteurs sociaux qui l’ont identifié comme vecteur et support possible d’une politique populaire. L’empreinte communiste se fait ainsi, nécessairement, double : la spécificité du « parti de type nouveau » dialogue avec des héritages et des aspirations populaires tantôt intégrés, accolés, métamorphosés ou dépassés dans ces rencontres.
Elle est aussi polymorphe, en ce qu’elle mêle tout autant des thèses identifiées comme politiques que des répertoires d’action, des symboles que des méthodes : des idées, des pratiques et des affects. Elle constitue enfin un objet qui fait problème, en ce que son spectre court de l’immédiatement identifié – voire revendiqué – jusqu’au labile, l’oublié, le nié.
Une « nouvelle histoire » du communisme donc, mais ancrée dans une riche et plurielle historiographie française, en dialogue avec ce qui se produit hors de nos frontières, et qui envisage de poursuivre cet effort dans la perspective d’une histoire sociale et culturelle du communisme en France.
programme
vendredi 14 octobre 2016 • de 13 h 30 à 18 h
Archives départementales de Seine-Saint-Denis (Bobigny)
54, avenue du Président Salvador Allende • 93000 Bobigny • salle de conférences
13 h 30-13 h 45 accueil par Thibaud Blaschka, Anthony Crézégut, Pierre Krieger, Dimitri Manessis et Guillaume Roubaud-Quashie
session 1 Biographies collectives en chantier
discutant : Bernard Pudal (Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris, université Paris-Ouest Nanterre-La Défense)13 h 45-14 h 10 Dimitri Manessis (Centre Georges Chevrier, université de Bourgogne-Franche Comté)
L’étude des secrétaires régionaux du PCF au temps du Front populaire, premières analyses14 h 10-14 h 35 Zoé Grumberg (Centre d’histoire de Sciences Po, Paris)
De la section juive de la Main-d’œuvre immigrée à l’Union des juifs pour la résistance
et l’entraide et/ou au PCF : trajectoires de militants, années 1920-195214 h 35-15 h 05 discussion
session 2 Premières hypothèses (de néo-doctorants)
discutant : Maurice Carrez (Dynamiques européennes, Sciences-Po Strasbourg)15 h 10-15 h 35 Corentin Lahu (Centre Georges Chevrier, université de Bourgogne-Franche Comté)
L’action du Secours rouge international dans le Midi dans l’entre-deux-guerres15 h 35-16h Éloïse Dreure (Centre Georges Chevrier, université de Bourgogne-Franche Comté)
Quelle histoire du communisme en Algérie coloniale (1920-1945) ?16 h-16 h 30 discussion & pause
session 3 Ciné-archives
17 h-18 h Diffusion d’une sélection de court-métrages
samedi 15 octobre • de 9 h à 17 h 45
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (Centre Malher)
9, rue Malher, 75004 Paris • amphithéâtre Dupuis
session 4 Présentation de centres et de fonds d’archives
9 h -9 h 15 Violaine Challéat-Fonck => Archives nationales
9 h 15-9 h 30 Pierre Boichu => Archives départementales de la Seine-Saint-Denis
9 h 30-9 h 45 Rossana Vaccaro => Centre d’histoire sociale du XXe siècle
9 h 45-10 h André Derval => Institut Mémoires de l’édition contemporaine (Imec)
10h-10 h 15 Julie Demange => Bibliothèque de documentation internationale
contemporaine (BDIC)10 h 15-10 h 45 discussion & pause
session 5 Genèse et structuration du Parti communiste français
discutant : Jean Vigreux (Centre Georges Chevrier, université de Bourgogne-Franche Comté)10 h 55-11 h 20 Andrea Benedetti (Dynamiques européennes, Sciences-Po Strasbourg)
Les rapports entre Souvarine et les dissidents de la Deuxième Internationale : à la recherche d’un nouvel internationalisme pour la fondation du Parti communiste11 h 20-11 h 45 Pierre Krieger (Dynamiques européennes, Sciences-Po Strasbourg)
L’implantation du PCF dans le Bas-Rhin de 1920 à 1929 : un héritage tenace de la social-démocratie allemande ?11 h 45-12 h 15 discussion puis déjeuner
session 6 L’internationalisme en actes
discutant : Michel Pigenet (Centre d’histoire sociale du XXe siècle, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)13 h 30-13 h 55 Édouard Sill (Savoirs et pratiques du Moyen Âge au XIXe siècle, École pratique des hautes études)
La fabrique d’une épopée. L’écriture d’une histoire officielle des Brigades internationales
par le Komintern, un récit étiologique transnational inachevé (1937-1957)13 h 55-14 h 20 Fabien Bénézech (Centre de recherches historiques de l’Ouest, université Rennes 2)
Les communistes marseillais face à l’entrée dans la guerre d’indépendance algérienne :
un puissant révélateur d’ambivalences (1er novembre 1954-20 août 1955)14 h 20-14 h 50 discussion
session 7 Usages partisans de référents théoriques
discutant : Jean-Yves Mollier (Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, université Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines)14 h 55-15h-20 Massimo Asta (Institutions et dynamiques historiques de l’économie et de la société, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
De quoi l’économique est-il le nom pour le PCF ? Retour sur le Traité marxiste d’économie politique15 h 20-15 h 45 Vanessa Grossman (Princeton University School of Architecture, université de Princeton)
Pour un urbanisme… (1974) : les communistes français et le tournant urbain15 h 45-16 h 15 discussion & pause
session 8 Circulation des idées en milieu militant
discutante : Danielle Tartakowsky (sous réserve) (Histoire des pouvoirs, savoirs et sociétés, université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis)16 h 30-16 h 55 Haramila Jolly (Centre d’études et de recherche en histoire culturelle, université de Reims Champagne-Ardenne)
D’André Palin à Jacques Prévert : le rôle des artistes français dans la construction
d’un théâtre communiste international (1929-1936)16 h 55-17 h 20 Anthony Crézégut (Centre d’histoire de Sciences-Po, Paris)
Le philosophe marxiste et ses pauvres militants. Correspondances sur les appareils idéologiques d’État17 h 20-17 h 45 discussion
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