• Le Comité professionnel des galeries d'art
    70 ans d'histoire (1947-2017)

    sous laLe Comité professionnel des galeries d'art. 70 ans d'histoire (1947-2017) direction de Julie Verlaine

    Paris, Hazan, octobre 2017
    142 x 210 cm, 176 pages
    ean 9782754109710
    prix : 25 €

    lien éditeur 

    Fondé en 1947 par un groupe de marchands parisiens (Louis Carré, Gildo Caputo), le Comité professionnel des Galeries d’art (CPGA) a eu d’emblée vocation à être une instance de lobbying face aux pouvoirs publics et aux élus, un espace de réflexion collective et de sociabilité pour les marchands parisiens et un lieu d’émergence de propositions de réformes fiscales, juridiques et économiques du marché de l’art français.
    Son histoire reflète celle du marché de l’art et présente une clé d’analyse efficace pour étudier les enjeux aussi majeurs que la réglementation des échanges, la définition des œuvres d’art originales, la défense du marché de l’art français ou encore les relations contractuelles avec les artistes et avec les collectionneurs.
    Cet ouvrage, fruit d’une étude collective et pluridisciplinaire fondée sur des archives inédites et de nombreux entretiens, examine les points saillants de l’activité du CPGA au fil du temps  et les replace dans le contexte plus large de l’essor du marché dans le monde de l’art contemporain.

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  • La Villa Primrose
    120 ans d’histoire sportive à Bordeaux

    Françoise Taliano-des Garets
     

    Bordeaux, éditions confluences, novembre 2017
    collection «Histoire régionale»
    220 x 270 cm, 128 p. illustrées 
    isbn : 978-2-35527-223 3
    prix : 25 €

    Télécharger « fiche primrose.pdf »

    La Société athlétique de la Villa Primrose fut fondée en 1897 par quelques grandes familles du négoce bordelais.
    Club de prestige mû par une certaine volonté de défendre les couleurs de la province vis-à-vis de la capitale, elle est restée très attachée à la perpétuation des traditions.

    Cent vingt années de l’existence de ce club sportif, tel est l’objet de cet ouvrage réalisé grâce à ses très riches archives. On y trouvera brossée de la Belle époque à nos jours l’histoire d’une vie intense de compétition, des amateurs du début du siècle à la lente professionnalisation des joueurs, jusqu’à la « starisation » et au sport-business plus récent. Primrose a vu se dérouler quelques-unes des manifestations sportives les plus relevées : championnat de France en 1909, rencontre France-Espagne avec les « Mousquetaires » en 1922, rencontre de Coupe Davis en 1923, le National à six reprises. Le tournoi Passing-shot a hissé le club a un niveau international. Après une interruption de plusieurs années, il a renouvelé ce choix en 2008 avec un tournoi challenger.
    C’est, en toile de fond, toute la mémoire du tennis français qui apparaît dans cet ouvrage abondamment illustré, mais aussi tout un pan de l’histoire de la société bordelaise.

    Françoise Taliano-des Garets est professeure d’Histoire contemporaine à Sciences Po Bordeaux et membre du CHS du XXe siècle Paris 1 Panthéon Sorbonne. Spécialiste d’histoire culturelle urbaine, elle a aussi travaillé sur l’histoire du tennis.


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  • Dossier : Maghreb-Indochine, comparaisons impériales
    n° 12 de la revue Monde(s) histoire espaces relations

    Maghreb-Indochine, comparaisons impériales – dossiersous la direction de Christophe Goscha et Sylvie Thénault

    sortie 15 novembre 2017

    lien vers la revue 

    Alors que les guerres d’Indochine et d’Algérie s’enchaînent, créant une période de conflit continue pour la France de 1945 à 1962, l’historiographie dépasse rarement les cadres spatiaux-temporels de chaque guerre pour les considérer comme un ensemble. Il en est de même pour la colonisation, en dépit des acquis actuels de l’histoire connectée. Le pari de ce dossier est de dégager l’Indochine et le Maghreb d’approches nationales et/ou bilatérales, centrées sur leurs relations avec l’ancienne métropole. Partant d’un projet comparatif, il aboutit à des propositions, empiriquement fondées, de renouvellement de l’histoire de l’Empire français.

    Avec les contributions de Christopher Goscha, Sylvie Thénault, Pierre Grosser, Jim House, Neil MacMaster, Denis Leroux, Raphaëlle Branche, Julien Mary, Martin Thomas, Emmanuel Blanchard, Andrew Barros, Hazuki Tate, Frédéric Spillemaeker

    voir le film (mai 2019)


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  • Peuple souverain
    De la révolution populaire à la radicalité populiste


    Pascal Ory

    Paris, Gallimard, octobre 2017

    « Le populisme est une idéologie de synthèse qui permet à la droite de trou­ver le chemin des classes populaires en adoptant un style de gauche ; la radicalité est une mythologie qui rapproche les extrêmes dans un rejet commun de la réforme et du compromis et facilite, le cas échéant, la circulation de l'un à l'autre. Dans certaines conditions de température et de pression poli­tiques la radicalité de gauche ou la radicalité populiste peuvent accéder au pouvoir. Elles en font alors — dans cet "alors" se niche l'Histoire — un usage qui satisfera, en proportions variées, le goût de l'absolu qui anime les radi­caux et la servitude volontaire qui anime les populistes. On appelle ça une catastrophe.»


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  • Pour une histoire globale des réseaux de pouvoir
    Mélanges en l’honneur d’Hubert Bonin 
    Professeur émérite d’Histoire contemporaine à l’Institut d’études politiques de Bordeaux

    Pour une histoire globale des réseaux de pouvoirsous la direction de B. Blancheton, F.-Ch. Mougel
    et Françoise Taliano-des Garets

    Bruxelles, 2017
    289 p., 39 ill. n/b, 45 tabl.

    isbn 978-2-8076-0275-5 
    eBook isbn 978-2-8076-0413-1 

    bon de commande : Télécharger « histoire globale réseaux-Taliano-2017.pdf »

    Peut-on penser le pouvoir sans l’associer à des réseaux ? Comment analyser autrement le développement de l’économie de marché, de l’entreprise à la mondialisation, et expliquer différemment le rôle de la finance dans l’émergence du capitalisme moderne? Comment interpréter la nature du pouvoir dans l’éducation et la culture sans parler des réseaux qui les irriguent au même titre que ceux qui façonnent la politique, de l’échelon local à celui de la société internationale ? C’est à ces questions qu’une équipe d’historiens, d’économistes et de politistes tente d’apporter une réponse dans une approche disciplinaire traversant les époques, du XVIIIe siècle à aujourd’hui, et associant les réalités françaises aux problématiques européennes, impériales et transnationales.

    Partant d’une définition commune de la notion de réseaux à la fois comme articulation entre des structures et comme lien entre des personnes, la vingtaine d’études ici rassemblées explore le rôle de ces mécanismes au coeur de multiples zones de pouvoir : la banque, l’entreprise, le commerce international, la culture, l’Etat ou la domination coloniale. Chaque contributeur l’a fait de manière distincte, soit au travers d’études de cas soit par le biais de synthèses plus larges. Mais, derrière cette diversité d’analyse, il existe une exigence méthodologique collective qui donne toute sa pertinence et toute sa cohérence à cet ouvrage : partir des faits concrets pour aboutir à une réflexion thématique globale. Au bout du compte, il en ressort la confirmation du postulat initial de ce livre : l’interpénétration du pouvoir et des réseaux. Une intégration dont les formes ont évolué dans la durée et qui a réussi à se pérenniser, portée qu’elle est par les modes de représentation spécifiques aux sociétés occidentales.


    table des matières
    Dedinger Béatrice/Maveyraud Samuel : Structure géographique de l’intensité du commerce inter- et intracontinental (1948-2014) 

    Blancheton Bertrand : Effet de réseau et luttes politiques : le mythe de la fin de la suprématie du dollar américain
    Dufy Caroline : Rente et système politique : essai sur les nouveaux capitalismes autoritaires. Un exemple avec la Russie contemporaine
    Figuet Jean-Marc : Une brève histoire des paradis fiscaux
    Le Bris David : Finance et croissance en France (1854-2010)
    Dormois Jean-Pierre : Aux racines du « désert français » : création d’entreprises et processus de désertification en France (1860-2012)
    Barjot Dominique : Le Crédit agricole : un acteur majeur de la modernisation de l’agriculture française (1948-1973)
    Baubeau Patrice : L’âme de la modernité : l’Office central de Landerneau, un chemin étroit entre État et efficacité (1911-1939)
    Bouneau Christophe : Les contraintes financières d’un réseau d’innovations technologiques : le financement de l’électrification ferroviaire en France dans l’entre-deux-guerres
    Fernandez Alexandre : Sur la disparition des caisses d’épargne en Espagne en 2013. Quelques éléments sur le cas basque (et navarrais)
    Joly Hervé : Les dirigeants des grandes banques françaises au XXe siècle, entre carrières maison et inspecteurs des Finances
    Sadran Pierre : Le réseau des Instituts d’études politiques : histoire d’une trajectoire contrariée
    Taliano des Garets Françoise : Pour une approche des réseaux culturels aux XXe et XXIe siècles : des affinités artistiques à la professionnalisation
    Battistella Dario : Les tabous de la société internationale
    Lachaise Bernard : Les élites municipales de Bordeaux au XXe siècle, de Charles Gruet à Jacques Chaban-Delmas (1912-1995)

    Bécuwe Stéphane : Le régime des sucres : du XIXe siècle à aujourd’hui
    Laux Claire : Les îles du Pacifique en périphérie du processus de mondialisation durant les premières décennies du XIXe siècle
    Marzagalli Silvia : Le prix d’un homme. Les expéditions de François Castaing, armateur négrier bordelais
    Mougel François-Charles : Entre individualité et réseaux : sir Thomas Stamford Raffles (1781-1826) et l’impérialisme britannique dans l’Asie du Sud-Est
    Perrier Henri : Le Premier Empire colonial français. Les Établissements français dans l’Inde.


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  • Cote à côte : Berry-au-Bac dans la Première Guerre mondiale Perspectives franco-allemandes sur les fronts de l’Aisne

    Cote à côtesous la direction de Fabien Théofilakis

    Bruxelles, Peter Lang,
    coll. "L'Allemagne dans les relations internationales", septembre 2017

    370 p.
    isbn 978-2-8076-0350-9
    prix : 29 €

    La Première Guerre mondiale réserve encore des surprises pour qui veut arpenter les anciens lieux de bataille ou fréquenter les archives exhumées un siècle plus tard. La cote 108, monticule entre l’Aisne et le Marne, verrou oriental du Chemin des Dames, fut un haut lieu de la Première Guerre mondiale, parce que sa valeur stratégique en fit un secteur âprement disputé entre Français et Allemands de septembre 1914 à novembre 1918, parce que la stabilisation du front de l’Aisne poussa à la multiplication des formes d’offensive, parce que les expériences combattantes se chevauchèrent avec les expériences d’occupation des populations civiles des arrière-fronts, et parce que le paysage, encore aujourd’hui, porte les stigmates de cette tragédie quasi oubliée. Voir la cote 108 permet de comprendre comment le conflit fut vécu des deux côtés du front, par les Français et les Allemands, et pourquoi 14-18 est devenu la Grande Guerre, matrice du XXe siècle. Dix-neuf contributions, chacune écrite par un tandem franco-allemand de sept jeunes historiens, proposent une histoire croisée de la Grande Guerre, à partir d’un lieu qui devient champ de bataille. Ces articles abordent les types de rapport à l’ennemi comme combattant ou occupant ou encore les façons de percevoir la guerre et de la dire. Enfin, cinq archivistes reviennent sur la place des archives dans le renouvellement de la recherche, impulsée par le centenaire de la Première Guerre mondiale. Ils font ainsi comprendre combien sa commémoration varie selon les politiques mémorielles de chaque pays. L’ouvrage, richement illustré, paraît simultanément en allemand et en français.

    voir le film

    Die HöCote à côtehe 108 bei Berry-au-Bac im Ersten Weltkrieg

    Die Front an der Aisne aus deutscher und französischer Sicht

    Der Erste Weltkrieg hält immer noch ein paar Überraschungen für diejenigen bereit, die ehemalige Schlachtfelder bereisen und Archive durchforsten wollen. Die Höhe 108, deren Hügel zwischen der Aisne und der Marne den östlichen Riegel des Chemin des Dames formten, war einer der Hauptschauplätze des Ersten Weltkrieges. Ihr strategischer Wert machte sie zwischen 1914 und 1918 zu einem von Franzosen und Deutschen erbittert umkämpften Sektor; der Stillstand der Aisne-Front führte an diesem Ort zu neuen Formen der Offensive; dort überlappten sich durch die deutsche Besatzungsherrschaft die Erfahrungen der Soldaten mit denen der Zivilbevölkerungen hinter der Front; und nicht zuletzt trägt die Landschaft auch heute noch die Zeichen dieser beinahe vergessenen Tragödie. Die Höhe 108 sehen ermöglicht es zu verstehen, wie dieser Konfl ikt auf beiden Seiten der Front, von Franzosen und von Deutschen, erlebt wurde und warum er zu dem Großen Krieg werden konnte, der das 20. Jahrhundert dermaßen prägte. 19 Beiträge, jeder von vier Händen in deutsch-französischer Zusammenarbeit von sieben jungen Historikern geschrieben, präsentieren eine verfl ochtene Geschichte des Großen Krieges, ausgehend von einem Ort, der zum Schlachtfeld geworden ist. Fünf Archivare sprechen über die Bedeutung der Archive für das wiedererwachte wissenschaftliche Interesse am Ersten Weltkrieg, das durch das hundertjährige Jubiläum ausgelöst worden ist. Sie zeigen damit, wie sehr die Erinnerung an den Großen Krieg Teil einer Erinnerungspolitik ist, die in jedem Land andere Züge annimmt. Das reich illustrierte Buch erscheint gleichzeitig auf Deutsch und auf Französisch.


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  • Guide du chercheur en histoire de la protection sociale
    Volume 4, 1945-1970

    Patricia Toucas

    Comité d'histoire de la sécurité sociale,
    coll. Guide du chercheur en histoire de la protection sociale, septembre 2017

    404 pages

    Après un rappel historique sur la protection sociale des travailleurs salariés en France pendant les trente glorieuses, répertorie les principaux lieux de conservation des sources écrites sur le sujet.


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  • "On est chez nous"
    Histoire des tentatives d’organisation politique de l’immigration et des quartiers populaires (1981-1988)

    Karim Taharount

    Solnitsata, Histoire urbaine
    septembre 2017

    15×21 cm, 360 p.
    ISNB papier : 978-2-9560969-0-0
    ISBN numérique : 978-2-9560969-1-7
    prix : 26 € (port inclus)

    version numérique

    Depuis presque quarante ans, des militants tentent de mettre en place une organisation nationale capable de lutter contre les inégalités de droit et de traitement vécues par des populations essentiellement issues de l’immigration et des quartiers populaires.

    Cette organisation aurait une dimension politique, dans le sens où elle serait capable d’obtenir de la part des autorités des décisions qui lui sont favorables, voire une part du pouvoir législatif et exécutif. Elle serait constituée par les individus directement concernés par les inégalités qu’il s’agirait de combattre. Et elle fonctionnerait de façon « autonome », c’est-à-dire indépendamment de l’État et de toutes les organisations partisanes, syndicales ou associatives, françaises ou étrangères, qui voudraient l’absorber ou s’associer à elle, sans lui laisser la direction pleine et entière de son fonctionnement et de ses objectifs.

    Pourquoi cette organisation n’existe-t-elle toujours pas aujourd’hui ?

    C’est à cette question que répond notamment cet ouvrage. Et ce, en revenant sur l’histoire de la mouvance associative qui a porté ce projet durant les années 1980, et en suivant quelques jeunes qui ont commencé leur parcours militant en s’engageant dans cette même mouvance.

    Karim Taharount est docteur en histoire contemporaine (Université Paris 1 Panthéon Sorbonne). Ses recherches portent sur l’Histoire urbaine ainsi que sur la politisation et les mobilisations des populations issues des quartiers populaires et de l’immigration.

    Préface de Thomas Kirszbaum, sociologue, chercheur associé à l’Institut des Sciences sociales du Politique (ENS de Cachan/Université Paris Ouest, CNRS)


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  • Histoires d'O.

    Mélanges d'histoire culturelle offerts à Pascal Ory

    dirigé par Christophe Gauthier, Laurent Martin,
    Julie Verlaine, Dimitri Vezyroglou

    Éditions de la Sorbonne, septembre 2017
    collection Histoire contemporaine, 17

    ISBN-13979-10-351-0020-9
    GTIN13 (EAN13)9791035100209
    prix : 25 €
     
    Politiques culturelles, mémorielles et symboliques, bande dessinée, cinéma, théâtre, presse, intellectuels, gastronomie, expositions universelles, histoire du Front populaire et de la collaboration, bronzage… À quoi Pascal Ory ne s'est-il pas intéressé au cours de quarante années d'une production scientifique et éditoriale de haut vol ?

    Promoteur inlassable d'une histoire culturelle du contemporain – définie par lui comme histoire sociale des représentations –, historien-citoyen attentif à l'écume des jours comme aux mouvements profonds d’une histoire de longue durée, il a aussi formé des dizaines d’enseignants-chercheurs – et pas seulement – qui lui rendent hommage. L’inventaire à la Prévert des thèmes abordés dans cet ouvrage (de la moustache de Lyautey à la mélancolie des industries culturelles, des avant-gardes artistiques à la science-fiction) reflète non seulement la diversité des parcours et des domaines de recherche des élèves de Pascal Ory mais aussi l’éventail assez prodigieux des intérêts de celui qui ne s’est jamais voulu un maître – mais l’était et le reste, en vérité, dans le meilleur sens de l’expression.

    Table des matières

    Introduction

    Les trois formules du professeur Ory
    Alexandre Saintin

    GUERRE & OCCUPATION

    « Si étrange était le fléau… » Une préscience(-fiction) du désastre de 1940 – et de quelques autres : Jacques Spitz, La Guerre des mouches par Pierre-Frédéric Charpentier

    « Idéologie » ou « culture » ? D'une lecture culturaliste du phénomène nazi par Johann Chapoutot

    Le journal de la Corporation nationale de la presse par Philippe Jian

    Représentations et collaboration par Vincent Artuso

    Le collaborateur : petite histoire d'une grande figure de l’ennemi par Anne Simonin

    La séduction d’une politique culturelle de masse. Images, emblèmes et couleurs dans les célébrations vichystes (1940-1944) par Rémi Dalisson

    INTELLECTUELLES & INTELLECTUELS

    Le Rosebud de Dominique Desanti par Anna Trespeuch-Berthelot

    Faire l’histoire de l’histoire littéraire : jalons pour l’approche du cas Louis Aragon par Erwan Caulet

    Dialogue autour du théâtre populaire par Nathalie Lempereur

    Échappées, vacances et villégiatures de philosophes 1900 par Stéphan Soulié

    POLITIQUES CULTURELLES & SYMBOLIQUES

    La salle V : visite en Front populaire par Pascale Goetschel

    Pour l’histoire des politiques symboliques : le cas de la Marcha peronista par Esteban Buch

    L’encadrement périscolaire. Une histoire culturelle des deux côtés de l’enceinte scolaire, 1936-2016 par Nicolas Palluau

    Bibliothèques : l’abandon du politique ? par Anne-Marie Bertrand

    La politique culturelle et la création (1959-1981) par Antoine de Baecque

    Le renouvellement de l’identité urbaine : des armoiries aux logos par Julie Manfredini

    L’oxymore du président normal. Le prisme cérémoniel par Patrick Garcia

    MÉDIATIONS CULTURELLES & ARTISTIQUES

    HEY! Une revue d’art entre marges artistiques et culture de grande diffusion par Laurent Martin

    Mélancolie des industries culturelles par Christophe Gauthier

    Histoires de Jacques Goimard. Ou comment, « entre deux Mai », le cinéma, la science-fiction et la bande dessinée sont entrés à l’université par Dimitri Vezyroglou

    L’Association, une aventure éditoriale en bande dessinée : de la majorité à la maturité d’un « art mineur » par Benjamin Caraco

    Le Dom Juan de Marcel Bluwal. La création d’une œuvre patrimoniale pour la télévision par Évelyne Cohen

    CIRCULATIONS INTERNATIONALES

    Jumelage et commémoration : fondement du rapprochement des peuples, outil de construction des mythes par Alain Dubosclard

    Le temps où l’abstraction eut raison. Histoire, mémoire, patrimoine : la respectabilisation des avant-gardes par Julie Verlaine

    Le jazz fusion ou la world music avant l’heure. Réflexions sur la mondialisation de la musique américaine (1969-1975) par Ludovic Tournès

    CORPS INTIME EXPOSÉ

    Corps d’armée, corps aimé : quand Cocteau et le maréchal Lyautey parlaient sexe par Élisabeth Hennebert

    Élégance et esthétique. Contribution à une histoire des représentations dans le sport en général et dans le tennis en particulier par Françoise Taliano-des Garets

    La sexualité adolescente dans la France des Trente Glorieuses, entre « âge », « classe », « genre » et « race » par Régis Révenin

    Étoiles et tabliers. Vedettariat, cuisine et cinéma en France dans les années 1930 par Myriam Juan

    PORTRAIT : Pascal Ory, un historien radiophonique Propos recueillis par Séverine Liatard

    Bibliographie des publications à caractère scientifique de Pascal Ory (1970-2017)


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  • What's in a Name?
    Talking about Urban Peripheries

    What's in a Name? Talking about Urban Peripheriesedited by Richard Harris and Charlotte Vorms

    Global Suburbanisms
    Toronto, University of Toronto Press,
    Scholarly Publishing division, juillet 2017

    376 p.

    isbn 9781442626966
    prix : 36$95
     

    ‘Borgata’, ‘favela’, ‘périurbain’, and ‘suburb’ are but a few of the different terms used throughout the world that refer specifically to communities that develop on the periphery of urban centres.

    In What’s in a Name? editors Richard Harris and Charlotte Vorms have gathered together experts from around the world in order to provide a truly global framework for the study of the urban periphery. Rather than view these distinct communities through the lens of the western notion of urban sprawl, the contributors focus on the variety of everyday terms that are used, together with their connotations. This volume explores the local terminology used in cities such as Beijing, Bucharest, Montreal, Mumbai, Rio de Janeiro, Rome, Sofia, as well as more broadly across North America, Australia, Southeast Asia, and elsewhere. What’s in a Name? is the first book in English to pay serious and sustained attention to the naming of the urban periphery worldwide. By exploring the ways in which local individuals speak about the urban periphery Harris and Vorms bridge the assumed divide between the global North and the global South.

    lien vers l'éditeur 
    http://www.utppublishing.com/What-s-in-a-Name-Talking-About-Urban-Peripheries.html


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