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    Nanterre, les 18 et 19 avril 2013

    2013Histoire de l'Algérie coloniale
    Longue durée et désenclavement

     


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  •   Mémoire et mémorialisation
    Volume 1 : De l’absence à la représentation

    Mémoire et mémorialisation - Denis Peschanskisous la direction de
    Denis Peschanski

    Comment peut-on penser la mémoire comme objet des sciences sociales sans prendre en compte les dynamiques cérébrales ou cognitives ? Comment peut-on penser la mémoire comme objet des sciences du vivant sans prendre en compte les dynamiques sociales inscrites dans l’histoire ? 

    Cet ouvrage fait au contraire le pari que d’une double confrontation transdisciplinaire et transprofessionnelle naîtra une meilleure connaissance des phénomènes mémoriels. Neuroscientfiques et historiens, philosophes et directeurs de musées, anthropologues et sociologues, neuropsychiatres et juristes sont ainsi convoqués pour la première fois dans un même volume.

    Ces regards croisés portent sur le 11 septembre et sur la Seconde Guerre mondiale, au coeur du programme francoaméricain qui porte ce livre, mais aussi sur l’Amérique latine sous les dictatures, sur l’esclavage et sur la traite. 

    Éditions Hermann     isbn 978 2 7056 8105 0     Prix : 28€
      

    Avec les contributions de : Anne Bourgon, Yves Burnod, Clifford Chanin, Myriam Cottias, Boris Cyrulnik, Katia Dauchot, Georges Fournier, Alice M. Greenwald, Stéphane Grimaldi, Jan T . Gross, Katherine Hite, Marie-Claire Lavabre, Henry Parens, Denis Peschanski, Florence Pizzorni-Itié, Gérard Rabinovitch, Anne Raulin, Mark Schaming, Brigitte Sion et Marita Sturken.


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  • Les Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique sont une revue trimestrielle, organisée pour chaque numéro autour d’un dossier thématique qui donne son titre au volume. Cette revue généraliste se donne comme objectif, à travers une grande diversité de thématiques, de développer une histoire polarisée autour du fonctionnement des dominations sociales dans toutes leurs dimensions politiques, économiques et culturelles. Cette approche s’accompagne d’une démarche réflexive sur les formes de production et les usages du savoir historique dans ces processus de domination.

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  • des éditeurs engageants…

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  • Violence ordinaire dans l'Algérie Coloniale
    Camps, Internements, assignations à résidence

    Sylvie ThénaultViolence ordianaire Algérie Coloniale, Sylvie Thénault

    Avec ce livre, Sylvie Thénault présente les conclusions d’une réflexion sur l’arbitraire et la violence ordinaire en situation coloniale, dans le prolongement de ses précédents travaux sur la justice et sur les camps d’internement pendant la guerre d’indépendance algérienne. En quittant l’échelle des années de guerre ouverte pour considérer la période coloniale dans son ensemble, en envisageant conjointement les politiques menées en France et celles en œuvre en Algérie tout en réfléchissant sur l’inscription de ces dernières dans le cadre plus large de l’Empire colonial, ce sont de nouvelles perspectives qu’elle dessine. Prenant soin d’éviter l’écueil d’une perspective téléologique qui ne retiendrait du passé que ce qui semblerait pouvoir expliquer le présent, l’auteure choisit de présenter dans une première partie la pratique de l’internement administratif à son « âge d’or », celui du statut de l’indigénat entre 1880 et 1914 (« Algérie 1900. L’internement, une routine »). Elle fait ensuite retour sur ses origines depuis 1830 (« La genèse d’une pratique coloniale spécifique ? ») pour enfin consacrer une troisième partie aux évolutions après 1914 et l’apparition des camps d’internement (« Interner dans les guerres du XXe siècle : une histoire de camps »). suite de cet articleCompte rendu du livre de sylvie Thénault dans la revue "Mouvement social" :

     Odile Jacob, 2012  -  Collection « Histoire »  - 381 pages

     Présentation vidéo de l'ouvrage

     
    Violence ordinaire dans l'Algérie coloniale... par CentreHistoireSociale


    Illustrations, sur cette page internet : cartes postales d'époques, différents types ou lieux d'internements

     Corse, Calvi - Une vieille rue de Calello

     Calvi, Corse, vue d'un interné dans une vieille rue de Calello (au temps de l'Algérie coloniale)

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    Algérie, Berrouahia, prison civile

     Algérie, Berrouaghia, prison civile   (cliquer sur la photo pour l'agrandir)

    Algérie, Berrouaghia - Pénitencier agricole

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      Algérie, Berrouaghia, "pénitencier agricole"   (cliquer sur la photo pour l'agrandir)

    Algérie, Berrouaghia plan pénitencier, 1960

     Algérie coloniale, Lambèse, la maison centrale

      Algérie coloniale, Lambèse, la maison centraleAlgérie coloniale, Lambese - prison centrale

     Algérie coloniale, Lambese - prison centrale

     

     

     

     

     

    Algérie, pénitencier Lambese vue aérienne

    Algérie Lambese - pénitencier, façade

     

     

     

     

      

     Algérie coloniale, Lambèse, le pénitencier                                                Algérie coloniale, Lambèse, le pénitencier

       cliquer sur la photo pour l'agrandir                                                                cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

    Violence ordinaire dans l'Algérie Coloniale, Sylvie Thénault - vidéo de présentationDans une cour du fort de l’île Sainte-Marguerite, près de Cannes, au XIXe siècle, prisonniers (conquête Algérie)

    source photo : http://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article1978

     

     

     

     


    Touaregs prisonniers à Alger, amenés en France par M. Marqueray (Photo prise en juillet 1889), prise dans le jardin d'Alfred Rambaud en 1889 par Ferrari, donateur en 1889 - Source Gallica

    Touaregs prisonniers à Alger, amenés en France par M. Marqueray (Photo prise en juillet 1889)


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  • L'histoire culturelle

    L'histoire culturelle. « Que sais-je ?» Pascal OryPascal Ory

    Cet ouvrage apporte quelques réponses simples à ces questions complexes : oui, il est facile de définir l'histoire culturelle, comme une « histoire sociale des représentations ». Oui, il n'est pas difficile d'en reconstituer les origines. On peut en préciser les objets, dans leur cohérence : la cohérence d'un regard sur les sources, sur leur mode de questionnement, qui est, par là, questionnement du monde.
    L'histoire culturelle est à la mode. Certains s'en agacent, certains mettent en doute son existence. On parle ici de flou conceptuel, là d'impérialisme. Comment, en effet, rendre compte d'un champ d'investigation qui s'étend des arts plastiques aux arts martiaux, de la sensibilité aux parfums à la spiritualité de Saint Louis ?

     PUF • 3e édition mars 2011  Coll. « Que sais-je ?»

    115 x 176 mm • 128 pages  isbn : 978-2-13-058651-7  ean : 9782130586517

     


     

    Colloque Université de tous les savoirs (20 avril 2000)

    QU'EST-CE QUE L'HISTOIRE CULTURELLE?
    "L'histoire culturelle est à la mode. Ce n'est pas sans raison. Ce n'est pas sans danger non plus, d'autant qu'on pourrait la confondre avec une autre formule à succès, en terre anglo-saxonne cette fois, celle des Cultural studies. La culture étant entendue ici comme ensemble des représentations collectives propres à une société, l'histoire culturelle peut se définir comme histoire sociale des représentations. Elle se distingue ainsi des histoires qualitatives (histoire des arts, des sciences, des ""idées""...), articulées sur le jugement de valeur et attachées à la recherche prioritaire de la singularité.

    S'en déduit un attachement à la dimension collective des phénomènes et à la démarche environnementaliste, qui fait de l'histoire culturelle une discipline préoccupée du mesurable (sinon du quantifiable) et du médiatique (au sens d'une histoire de la mise en relation). Une telle définition permet de répondre aux objections tenant à la nature de l'enquête jugée par certains trop limitative, aussi bien, a contrario, qu'au soupçon d'un impérialisme du culturel.

     


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  • La Revue blanche.
    Histoire, anthologie, portraits 1889-1903

    La Revue blanche - Olivier Barrot et Pascal OryOlivier Barrot et Pascal Ory

    Grâce au talent et aux libéralités de Thadée Natanson et de ses frères, «l'amicale, à tous prête Revue blanche» (Mallarmé) constitue le plus éblouissant carrefour intellectuel de 1900. Symboliste et dreyfusarde, elle réunit dans le sérieux et la fantaisie, entre 1889 et 1903, les grands écrivains – Gide, Blum, Proust, Renard, Péguy, Jarry, Verlaine, Apollinaire... – et les grands peintres – Toulouse-Lautrec, Bonnard, Signac, Redon, Vuillard, Vallotton, Denis.
    Aucun débat du temps ne lui aura été étranger.

     La Table Ronde • octobre 2012  Coll. «La petite Vermillon»

    108 x 179 mm • 452 pages   

    isbn : 978-2-7103-6822-9
    ean : 9782710368229

     


     

     

    1895 La Revue Blanche, bi-mensuelle  Affiche Toulouse-Lautrec - source : Gallica

    1895 La Revue Blanche, bi-mensuelle 
    Affiche Toulouse-Lautrec - source : Gallica

     

    1900 Vignette tirée de La revue blanche impression photomécanique, Félix Vallotton

    Vignette tirée de La revue blanche (1900, impression photomécanique, Félix Vallotton)
    Sommaire du numéro du 1er avril 1900 de la revue blanche :
    Léon Blum, Octave Mirbeau, Judith Gauthier, Gustav Kahn, Emile Pouvillon

     

    Il est possible de lire la revue blanche sur gallica :
    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb344304470/date.r=revue+AND+blanche+.langFR

     

     

     

     


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  • Villes sous l'occupation.
    L'Histoire des Français au quotidien

     Villes sous l'Occupation, L'Histoire des Français au quotidien.  Pascal Ory Pascal Ory

     Le 22 juin 1940, neuf mois après l'entrée en guerre de la France, le gouvernement de Pétain signe l'armistice avec les représentants du IIIe Reich.
    Cet événement marque le début de l'une des périodes les plus sombres de l'histoire du pays. A quoi ressemblait le quotidien des Français selon qu'ils se trouvaient dans les départements annexés ou rattachés, la zone interdite, la zone dite libre", la zone littorale, etc ? Comment la Résistance s'est-elle organisée face à la Collaboration ? Que reste-t-il aujourd'hui de ces années dans la mémoire collective ? Et comment a-t-on vécu cette période selon que l'on vivait à Strasbourg, Bordeaux, Lille, Rennes, Paris, Marseille, Annecy ou Toulon ? Dans la première partie de cet ouvrage, l'historien Pascal Ory nous donne les clés pour tenter de mieux appréhender cette période de notre histoire.

    Son analyse est complétée par des dossiers détaillés sur une trentaine de villes et régions de métropole et d'outre-mer, issus des archives de L'Express. Dans chacun d'entre eux, des spécialistes de l'histoire locale livrent les éléments essentiels à la compréhension des événements. Le sabordage de la flotte dans la rade de Toulon, l'épisode des Glières, le massacre d'Oradour-sur-Glane sont ainsi décryptés de même que des épisodes moins célèbres tels que la bataille des V à Cherbourg.
    On y découvre également les portraits de grandes figures locales ou nationales de la Résistance, héros inconnus ou connus tels Raymond Aubrac et Arno Klarsfeld, ou de la Collaboration comme René Bousquet. Autant de témoignages qui permettent une plongée saisissante dans ces années longtemps passées sous silence.

    L’Express, octobre 2012   13,7 cm × 21,2 cm • 538 pages
    isbn : 978-2-84343-947-6   ean : 9782843439476


     

    1943, France, Marseille, Des soldats allemands dans le quartier du Panier (avant son évacuation) Bundesarchiv Bild

    1943, France, Marseille, Des soldats allemands dans le quartier du Panier

     


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  • L'art de la bande dessinée

    L'art de la bande dessinée, Pascal Ory, Laurent Martin,  Jean-Pierre Mercier  et Sylvain VenayrePascal Ory, Laurent Martin,
    Jean-Pierre Mercier
    et Sylvain Venayre

    La bande dessinée fait son entrée dans la prestigieuse collection «L’Art et les grandes civilisations». Qu’elle ait aujourd’hui acquis une recon-naissance artistique est indéniable ; l’envolée des enchères, la multi-plication des manifestations la célébrant et la vitalité des institutions s’y consacrant, dont la Cité internationale de la bande dessinée d’Angoulême, en attestent. Longtemps relégué au rang mineur d'«illustré» pour la jeunesse, le genre qui, dès les années 1960, s’ouvrait largement au lectorat adulte, a gagné sa légitimité bien au-delà des cercles bédéphiles pour désormais prétendre être cité dans les programmes scolaires et les tribunes universitaires.
    Des fondateurs (Töpffer, Outcault, McCay, Saint-Ogan…) aux auteurs contemporains (Pratt, Moebius, Spiegelman, Ware, Mattotti, Bilal, Satrapi, Taniguchi…), des séries cultes au graphic novel en passant par le comics et le manga, cette approche socio-historique internationale permet de comprendre le phénomène culturel qu’est la bande dessinée. À travers près de 600 reproductions de planches originales ou d’imprimés se donnent ici à apprécier les styles, les techniques et l’inventivité graphique ou narrative de près de 500 créateurs, dessinateurs et scénaristes.
    Sans précédent, ce volume constitue une véritable référence pour tout public et marque un pas de plus vers la reconnaissance du «neuvième art».

     

    Citadelles et Mazenod • 10 octobre 2012
    22,7 cm × 33,0 cm × 6,0 cm     586 pages 

    isbn : 978-2-85088-531-0

     

    ean : 9782850885310

     


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  • Enfermements.
    Populations, espaces, temps, processus, politiques

    Enfermements - Populations, espaces, temps, processus, politiques - sous la direction de Pierre Victor Tournier

    Locaux de garde, centres éducatifs fermés, prisons, lieux destinés à la prise en charge médicale des personnes privées de liberté, rétention de sûreté et rétention administrative des étrangers… les objectifs de l’enfermement, hier comme aujourd’hui, en démocratie comme en dictature, sont complexes et ambigus : entre inclusion et exclusion, ordre et insertion, entre soin et sanction. Dans tous ces lieux, la dignité des personnes peut être mise en cause, leurs droits fondamentaux non respectés, leur état physique et mental menacé.

    La structure de l’ouvrage prend en compte cette diversité des lieux de privation de liberté et des disciplines scientifiques des contributeurs, tout en s’en libérant par la transversalité : I. Prisons des dictatures, prisons « politiques » en Europe, II. L’enfermement vu d’ailleurs, III. Questions en débat : de la rétention administrative… à la rétention de sûreté, IV. Surveiller et soigner aujourd’hui, V. Enfermements et disciplines. Le soin de conclure a été confié à Jean-Manuel Larralde, professeur de droit public à l’Université de Caen Basse-Normandie.
    Présentant les contributions du « 1er colloque jeunes chercheurs sur la privation de liberté », organisé en 2012 par le Centre d’histoire sociale du XXe siècle, cet ouvrage offre l’opportunité à des étudiants en master 2, doctorants ou « jeunes » docteurs de faire connaître leurs premiers travaux de recherche. Les 23 contributeurs sont spécialistes en droit, science politique, sociologie-anthropologie, histoire, géographie, sciences de l’éducation ou psychologie. Ils nous offrent un regard pluriel sur l’enfermement.

    sous la direction de
    Pierre Victor Tournier

    Contributeurs : Nawal Boutouila, Herminie Bracq-Leca, Julien Cahon, Jeanne Chabbal, Coralie Chirol, Pascal Décarpes, Catherine Dubrana, Stéphanie Ducret, Joana Falxa, Sara Guérin-Brunet, Marion Guigue, Sophie Guigue, Nelly-Marine Hur-Vario, Benoist Joly, Gérard Lambert, Annie Lochon, Amélie Nuq, Remy Piperaud, Maxime Plet, Juliette Soissons, Akila Taleb, Marc Touillier et Alexia Venouil.

    L'Harmattan, juin 2012  Coll. «Criminologie»  155x240 mm • 393 pages

    isbn : 978-2-296-96555-3    prix : 38,50€

     


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